Après les riches, les ultra-riches, Gérard Depardieu, allons-nous maintenant voir arriver les joueurs en Belgique ? En effet, un député socialiste dont j’ai oublié le nom et qui pourtant souhaitez sans doute se faire un nom avec cette superbe proposition : taxer de 15% les revenus des jeux supérieurs à 30,000 euros. Quelle bonne idée. Il est vrai qu’en France on taxe comme un sport national, malgré le fait que tous les joueurs paient déjà des taxes sur les jeux et les revenus qu’ils en retirent. Et si cela passait ? J’imagine que cela dissuaderait un peu les joueurs de jouer. Et là il faut quand même rappeler qu’une baisse forte des jeux entrainerait l’obligation pour l’Etat d’augmenter les impôts de tous les français de 15%. Ce n’est donc pas si insignifiant. Insignifiant par contre est le montant que cela ramènerait à l’Etat puisque les super cagnottes ne doivent concerner qu’une centaine de joueurs à l’année. Faut-il donc encore faire toute une usine à gaz qui démotive encore un peu plus ? Voila ce que rapporte le site Boursier sur le sujet : Après les taxes sur le tabac, l’alcool, l’huile de palme, faut-il s’attaquer aux jeux du hasard ? Le député socialiste, Yann Galut, propose ainsi de taxer les gains de plus de 30.000 euros, à hauteur de 15%. Face à l’emballement médiatique suscité par cette proposition, le député socialiste en explique les raisons sur son blog. Alors que le pays cherche par tous les moyens à réaliser des économies, Yann Galut estime que « chacun doit contribuer selon ses revenus : c’est une question de justice fiscale ! ». Il a sans doute oublier que les revenus de ce patrimoine seront imposés l’année suivante… La question de la taxation des gains liés aux jeux de hasard n’est pas nouvelle, surtout en ce qui concerne le poker. L’an dernier, l’actuelle ministre de la Culture, Aurélie Filipetti, avait déposé un amendement, dans le cadre du projet de loi de finances 2011, afin de taxer les joueurs de poker professionnels ayant empoché un gain annuel dépassant les 5.000 euros. En outre, la proposition mettait en avant le fait que le poker n’est pas simplement un jeu de hasard : une part de stratégie existe et augmente avec le professionnalisme des joueurs. L’Assemblée nationale avait rejeté la proposition. Qu’en sera-t’il cette fois ? Je parie que le dernier vainqueur du Loto se cherche déjà une petite maison en Belgique. Retrouver cette information sur Boursier.com
Parodie de l’excellentissime Night at the Roxbury
Les Belges deviennent-ils racistes ?
C’est reparti comme à chaque fois que les tensions économiques se font sentir, c’est forcément la faute à l’autre. Cette fois, un sondage précise que 40% des belges pensent que les étrangers ont un impact négatif sur l’emploi. En gros, ils piquent la place aux bons belges… Quarante pour cent de la population belge estime que les personnes d’origine étrangère exercent un impact négatif sur le marché de l’emploi en Belgique et souhaite qu’elles soient renvoyées dans leur pays si le nombre d’emplois diminue, selon les résultats du premier baromètre de la diversité publiés par le Centre pour l’égalité des chances et la lutte contre le racisme. Cette proportion des Belges craint des répercussions négatives sur le marché de l’emploi du fait que des Maghrébins, des Turcs, des Africains et des Européens de l’Est viennent vivre en Belgique et trouve que leur présence est mauvaise pour le marché de l’emploi en Belgique, souligne l’organisme étatique belge dans ce rapport, qui aborde les questions relatives à la discrimination, la tolérance et la participation sur le marché du travail. 30% des Belges estiment que la Belgique ne devrait autoriser aucune de ces minorités à venir travailler sur son sol, et 40% sont même favorables à l’idée de renvoyer ces minorités chez elles en cas de diminution du nombre d’emplois dans le pays, s’alarme ce Centre, qui a pour mission la promotion de l’égalité et la lutte contre la discrimination. Ces résultats sont confirmés par l’enquête menée auprès des minorités elles-mêmes : la moitié des personnes interrogées répond que certains Belges ont l’impression que les personnes d’origine étrangère sont une menace pour l’emploi et viennent prendre leur travail. Dans le même ordre d’idées, poursuit le rapport, un quart de la population belge estime que les salaires moyens sont plus bas parce que des personnes d’origine étrangère sont venues vivre et travailler en Belgique. Concernant la tolérance dans le milieu de travail et entre collègues, l’étude montre que 20% des Belges préfèrent ne pas avoir une personne d’origine étrangère comme collègue, et encore moins comme chef. Une personne d’origine étrangère sur trois estime que ses collègues belges acceptent difficilement qu’elle fasse carrière dans l’entreprise. De même, 62% des Belges trouvent gênant que des collègues issus de l’immigration parlent leur langue maternelle entre eux pendant les heures de travail. Un Belge sur deux accepte toutefois que des collègues d’origine étrangère parlent leur langue pendant la pause de midi. Selon cette enquête, 52% des Belges pensent que les membres de minorités ethniques ont plus de difficultés que les Belges à trouver du travail. 75% des personnes d’origine étrangère interrogées disent avoir été victime de discrimination au moins une fois durant leur recherche d’emploi. Plus précisément, souligne le rapport, « 20% des personnes d’origine marocaine, qui constituent la principale minorité ethnique en Belgique, disent avoir été victime d’une discrimination à l’embauche au cours de l’année écoulée et 10% affirment avoir subi une discrimination sur le lieu de travail. Pour les personnes d’origine turque, les pourcentages sont respectivement de 10 et de 9% ». Ce baromètre confirme ces discriminations raciales à l’emploi et relève un risque considérable de discrimination des personnes d’origine étrangère dès les premières étapes de la sélection. Ainsi, un candidat d’origine étrangère a 6,6 points de pourcentage de chances en plus de subir un désavantage discriminatoire par rapport à un candidat Belge au moment de la convocation à un entretien d’embauche. Près de 10% des responsables des Ressources humaines interrogés dans le cadre de cette enquête affirment que l’origine du candidat exerce une influence sur la sélection finale et 5% indiquent que la couleur de peau intervient également. Et ce, même après l’invitation à un premier entretien d’embauche. 8% des responsables RH indiquent que les candidats issus d’une minorité ethnique doivent davantage prouver leur valeur lors d’une procédure de sélection. Ce baromètre montre également que l’écart entre le taux d’emploi des personnes ayant la nationalité belge et celles de nationalité étrangère est particulièrement grand. Dans ce cadre, les Belges ont le taux d’emploi le plus élevé, les Européens occupent une position médiane tandis que les minorités turque, marocaine et congolaise ont le taux d’emploi le plus faible. Il y a aussi une très grande différence entre le taux d’activité des personnes ayant la nationalité belge et les non-Belges. De plus, ces dernières ont aussi beaucoup plus difficilement accès au marché de l’emploi et sont donc confrontées à un taux de chômage nettement plus élevé, selon le rapport. Pour en savoir plus : http://bit.ly/RiKLQ4
Bruxelles: 200 000 euros pour un nouveau logo
Deux pétales bleus qui entourent un cœur jaune: voilà l’iris «nouvelle version» tel qu’il a été choisi aujourd’hui par le Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale en guise de nouveau logo. Imaginée par l’agence Base Design, la nouvelle identité visuelle de Bruxelles utilise comme racine l’extension «.brussels» qui sera attribuée à la Région de Bruxelles-Capitale au début de l’année 2013, à laquelle est associée le code pays «be» pour Belgique, bien évidemment ! Simple mais original, le nouveau nom «be.brussels» est donc une adresse Internet et l’appellation entend ainsi placer la Région de Bruxelles-Capitale au centre de l’Etat fédéral et au cœur de l’Europe puisqu’il s’agit d’une «marque Web» directement concrète et utilisable en terme d’informations.
«Un logo, aussi juste ou beau soit-il, ne suffit pas à faire une marque, précise Thierry Brunfaut, un des trois fondateurs de l’agence Base Design. Ce qui rend une marque dynamique et forte, c’est avant tout sa capacité à créer l’engagement et l’adhésion de ceux qui vont s’y référer. C’est d’autant plus vrai pour le city marketing d’une région comme Bruxelles avec cette nouvelle identité qui se doit d’être ouverte à tous les acteurs de la ville et de vivre tant comme élément rassembleur que comme outil de promotion vers l’extérieur.» Coût de l’opération : entre 150.000 et 200.000 euros si l’on en croit le ministre bruxellois des finances Guy Vanhengel.
Disturb me Brussels
Voici une installation originale qui modifie les couleurs et objets en fonction des sons émis…
un Hard Rock Cafe pour Bruxelles
Le Hard Rock Cafe bruxellois ouvrira début août, ont indiqué les responsables qui avaient convié la presse pour présenter quelques-uns des souvenirs musicaux qui orneront les murs du nouvel établissement. Officialisée en début d’année, la venue de Hard Rock Cafe sur la Grand-Place De Bruxelles devrait réjouir touristes et Bruxellois amateurs de musique et de cuisine américaine. L’ouverture officielle, prévue dans le courant du mois d’août, interviendra plus de 15 ans après la disparition d’une enseigne à Anvers. La Groenplaats avait en effet brièvement accueilli un Hard Rock Cafe, mais le franchisé avait fini par perdre les faveurs de la chaîne floridienne. À Bruxelles, c’est la société Hard Rock International qui assure directement la gestion. La chaîne n’exclut pas de procéder à d’autres ouvertures dans le pays en fonction du succès rencontré par la version bruxelloise.
« Le lieu contribuera à donner un certain retentissement à Bruxelles. Cette installation constitue une évolution pour une ville qui pouvait avoir une image de capitale européenne parfois ennuyeuse », a commenté l’échevin du Tourisme de la Ville, Philippe Close. Ce dernier a précisé que les designers de la chaîne américaine, dans leurs travaux de restauration, avaient tout fait pour respecter au mieux l’intérieur de cette maison du XVIIe siècle, classé depuis 2002. Les travaux nécessaires à cette restauration se chiffrent en « millions de dollars », selon les responsables. Le nouvel établissement bénéficiera d’une superficie de 540 mètres carrés répartis sur plusieurs étages. Tous les niveaux seront décorés de pièces de collection ayant appartenu à des artistes allant d’Elvis Presley à Shakira. Une chemise portée par Bono (U2), un déshabillé en dentelle de Madonna, un collier fétiche de Jimi Hendrix ou encore un maillot de football porté par Noel Gallagher (Oasis) lors d’une tournée, soit au total entre 80 et 100 souvenirs musicaux, seront exposés. Autre nouveauté, le HRC devrait proposer des cours de cuisine à Bruxelles sur la thématique américaine avec des plats tels que le Surf & Turf ou encore le classic burger pour tous les amateurs du genre.
Scission de BHV
Voter la scission de BHV, qui a apporté tant de « malheurs » à la classe politique belge, un vendredi 13, fallait pas être superstitieux !! Le problème Bruxelles-Hal-Vilvorde ne met pas fin aux contentieux communautaires pour autant. Bart De Wever attend son heure.
On saura vite si voter la scission de BHV un vendredi 13 porte la poisse ou pas, à ceux qu’ils l’ont voté ! Il est tout d’abord évident que la Belgique n’en a pas terminé avec ses tensions communautaires. Les CD&V Peeters et Beke ont rappelé dès avant le vote sur Bruxelles-Hal-Vilvorde, qu’une nouvelle réforme de l’Etat serait nécessaire. Sans avancer de nouvelles revendications, d’ailleurs, juste pour le principe, en quelque sorte.
Les différents votes autour de BHV devront être prolongés par des mises en œuvre très délicates. Ainsi notamment, la réorganisation de l’arrondissement judiciaire va coûter cher et la Justice peine déjà à trouver des moyens. Reste aussi à faire accepter les magistrats francophones à Hal-Vilvorde ! Dans quelle langue, les bourgmestres de Linkebeek, Crainhem ou Wezembeek-Oppem enverront les convocations électorales ? Si, comme d’accoutumée, ils le font dans la langue de l’électeur, leur ministre de tutelle (le N-VA Geert Bourgeois !) se fera un plaisir de contester leur nomination devant le Conseil d’Etat. Nouveau carrousel attendu ! Il est prévu que l’on crée une communauté métropolitaine autour de Bruxelles. La N-VA (qui fait partie du gouvernement flamand) n’en veut pas ; Peu de chance que cette communauté voit le jour rapidement.
Mais le 14 octobre redistribuera également les cartes entre les partis flamands. Ces derniers semblent résignés à la victoire de la N-VA, à devoir à composer avec elle dans les communes et provinces et donc à la ménager reportant d’éventuelles ambitions ( ?) au méga-scrutin (régions+législatives+européennes) de juin 2014. C’est dans ce contexte particulier qu’il faudra faire passer le » plus lourd » de cette 6ème réforme de l’Etat : les transferts de compétences (santé, emploi, allocations familiales) et la nouvelle loi de financement, qui accroît l’autonomie fiscale et diminue les moyens de Bruxelles et de la Wallonie. Lire la suite sur RTBF
Le bien-être en Belgique
La Belgique fait partie des pays les plus performants en matière de bien-être, selon l’Indice du « Vivre mieux » de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Celui-ci a été actualisé, des données relatives aux inégalités et à la parité ayant été ajoutés aux critères permettant de mesurer et d’interpréter les progrès sociaux et économiques. L’Indice est, par ailleurs, désormais disponible en français. Au total, 62% de la population âgée entre 15 et 64 ans (67% d’hommes et 57% de femmes) disposent d’un emploi, un score inférieur à la moyenne de l’OCDE (66%). Le temps de travail annuel est de 1.551 heures, soit nettement moins que la moyenne (1.749 heures). En ce qui concerne la formation, 71% des 25-64 ans ont obtenu un diplôme secondaire ou équivalent. La Belgique possède d’ailleurs un système éducatif parmi les plus performants, souligne l’OCDE sur base des résultats du programme PISA. En général, les habitants de Belgique sont plus satisfaits de leur vie que la plupart des citoyens de l’OCDE. En Belgique, 74% des personnes interrogées indiquent vivre au cours d’une journée traditionnelle plus d’expériences positives (fierté, accomplissement, appréciation, etc.) que négatives (douleur, inquiétude, tristesse, ennui, etc.). Ce pourcentage est supérieur à la moyenne des pays de l’OCDE, qui s’établit à 72%. En Belgique, le salaire moyen annuel est de 26.734 dollars, soit davantage que la moyenne de l’OCDE qui est de 22.387 dollars. Cependant, relève l’Organisation, l’écart entre les riches et les pauvres est considérable, les 20% les plus riches de la population gagnant près de quatre fois plus que les 20% les plus pauvres. En matière de santé, l’espérance de vie en Belgique est de 80 ans (83 ans pour les femmes, 78 ans pour les hommes), un âge proche de la moyenne de l’OCDE. La quantité de particules fines est légèrement inférieure à la moyenne, tandis que 84% de la population se dit satisfaite de la qualité de l’eau.
Formation aviateur
Un militaire de chasse concourre avec des aéronefs équipés d’arsenals nucléaires à la tactique de force de frappe. La conjonction des avions d’interception et des bateaux de guerre fortifie la prérogative de dissuasion de l’hexagone. Le pilote de chasse collabore également à la sauvegarde des concitoyens contre une éventuelle menace dans le ciel. Entre 7 et quinze avions de chasse sont prêts en permanence à intercepter promptement tout avion soupçonnable. Egalement, le pilote d’avion de chasse est animateur stratégique des actions hors-territoires menées par le pays. Peu importe la charge qui lui est attribuée le pilote prend connaissance de sa tâche, veille à ce que son avion est efficient, guide son jet pour une mission de surveillance. De retour à sol, le chasseur crée un rapport de sa tâche à ses chefs. Chaque jour le pilote d’aéronef se emploie à la préparation militaire. Sa mission demande une large habileté d’ajustement aux récents aéronefs qu’il faut piloter. Les pilotes de chasse sont aguerris par leur régiment d’appartenance, leur entrainement comprenant les spécificités liées à leur interdépendance à une unité et celles attachées à leurs avions militaire et mandats. Une fraction de cette éducation se réalise sur simulateur. Les pilotes d’aéronefs doivent faire un ratio minimal d’heures de vol par an pour garder leurs facultés. les personnes qui ne pourront pas être pilotes pourront se donner un cadeau inimaginable en accomplissant un vol en avion de chasse. Eprouvez les sensations d’un pilote militaire. Ressentez les impressions pendant le vol en avion de chasse.
La fin du harcèlement sexuel ?
Le délit de harcèlement sexuel va-t-il être rayé du Code pénal? Une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) a en effet été déposée devant le Conseil constitutionnel par Gérard Ducray, ancien adjoint au maire de Villefranche-sur-Saône, dans le Rhône. Les Sages doivent examiner ce mardi la conformité de la loi en question à la Constitution, rapporte Le Parisien. Gérard Ducray, qui a également été secrétaire d’Etat au Tourisme de Valéry Giscard d’Estaing, a été condamné en mars 2011 par la cour d’appel de Lyon pour harcèlement sexuel sur trois employées municipales. Un verdict qu’il conteste, et qui l’a amené à se pourvoir en cassation.
L’ancien élu souhaite rayer ce délit du Code pénal, selon Le Parisien, car la définition de la notion de harcèlement sexuel dans la loi votée il y a 20 ans, notamment à l’article 222-333 du Code pénal, est pour lui entourée de «flou.» L’article en question décrit le harcèlement sexuel comme «le fait de harceler autrui dans le but d’obtenir des faveurs de nature sexuelle». Selon son avocate, Me Claire Waquet, interrogée par le quotidien, le texte de loi n’est «pas suffisamment précis. Le citoyen n’est pas en mesure, avec cette définition, de savoir ce qu’il peut ou ne peut pas faire, ce qui est pourtant un des fondements de la Constitution.» Lire la suite.