Un voyage sur le Saint Laurent

A découvrir dans le nord… le Saint Laurent au Québec. Sur les eaux pures du grand fleuve canadien, un voyage sur ce fleuve offre un point de vue unique sur la Belle Province et ses villes historiques. Depuis l’arrivée des premiers colons européens en Amérique du Nord, le Saint Laurent est l’une des grandes routes fluviales du continent, De la ville de Québec à Montréal, cette croisière suit un itinéraire historique dans un paysage naturel majestueux. Le faible tonnage des bateaux leur permet d’approcher les îles Berthier-Sorel ou vous verrez peut-être des hérons bleus. Les oies et les canards migrateurs rejoignent le lac Saint-Pierre tout proche, Quel contraste avec Montréal, métropole moderne ou vous pourrez « magasiner » et sortir le soir. En poursuivant vers l’ouest, vous pénétrez dans les chenaux et les écluses du canal du Saint-Laurent: ouvert en 1959, il permet aux navires de haute mer d’aller jusqu’aux Grands Lacs américains. Le spectacle du petit bateau dans ces gigantesques écluses est l’un des grands moments du voyage. Avant de débarquer à Kingston, sur le lac Ontario, vous traverserez les Mille Îles, destination de choix des estivants; des hors-bord foncent entre les îles, les unes transformées en village, les autres à peine assez grandes pour accueillir une seule maison. Ce voyage se fait généralement de Mai à Octobre car après le fleuve peut geler à quelques endroits. Il faut compter environ 7 jours pour aller de Québec à Kingston. Parmi les temps forts à ne pas rater : le vieux Québec, qui est le centre historique de la ville et qui mérite au moins une journée de visite. A faire au début ou à la fin de votre voyage. Montréal est également une ville à ne pas rater. C’est l’une des villes les plus dynamiques du pays avec un charme d’antan mêlée au modernisme des grattes ciels. Mais surtout, prenez le temps de profiter et de laisser passer le temps pour admirer la beauté du Saint Laurent. Préparez votre voyage avec le site officiel de l’office du tourisme de Québec : http://www.quebecregion.com

Taxe sur les jeux de hasard

Après les riches, les ultra-riches, Gérard Depardieu, allons-nous maintenant voir arriver les joueurs en Belgique ? En effet, un député socialiste dont j’ai oublié le nom et qui pourtant souhaitez sans doute se faire un nom avec cette superbe proposition : taxer de 15% les revenus des jeux supérieurs à 30,000 euros. Quelle bonne idée. Il est vrai qu’en France on taxe comme un sport national, malgré le fait que tous les joueurs paient déjà des taxes sur les jeux et les revenus qu’ils en retirent. Et si cela passait ? J’imagine que cela dissuaderait un peu les joueurs de jouer. Et là il faut quand même rappeler qu’une baisse forte des jeux entrainerait l’obligation pour l’Etat d’augmenter les impôts de tous les français de 15%. Ce n’est donc pas si insignifiant. Insignifiant par contre est le montant que cela ramènerait à l’Etat puisque les super cagnottes ne doivent concerner qu’une centaine de joueurs à l’année. Faut-il donc encore faire toute une usine à gaz qui démotive encore un peu plus ? Voila ce que rapporte le site Boursier sur le sujet : Après les taxes sur le tabac, l’alcool, l’huile de palme, faut-il s’attaquer aux jeux du hasard ? Le député socialiste, Yann Galut, propose ainsi de taxer les gains de plus de 30.000 euros, à hauteur de 15%. Face à l’emballement médiatique suscité par cette proposition, le député socialiste en explique les raisons sur son blog. Alors que le pays cherche par tous les moyens à réaliser des économies, Yann Galut estime que « chacun doit contribuer selon ses revenus : c’est une question de justice fiscale ! ». Il a sans doute oublier que les revenus de ce patrimoine seront imposés l’année suivante… La question de la taxation des gains liés aux jeux de hasard n’est pas nouvelle, surtout en ce qui concerne le poker. L’an dernier, l’actuelle ministre de la Culture, Aurélie Filipetti, avait déposé un amendement, dans le cadre du projet de loi de finances 2011, afin de taxer les joueurs de poker professionnels ayant empoché un gain annuel dépassant les 5.000 euros. En outre, la proposition mettait en avant le fait que le poker n’est pas simplement un jeu de hasard : une part de stratégie existe et augmente avec le professionnalisme des joueurs. L’Assemblée nationale avait rejeté la proposition. Qu’en sera-t’il cette fois ? Je parie que le dernier vainqueur du Loto se cherche déjà une petite maison en Belgique. Retrouver cette information sur Boursier.com