Le bien-être en Belgique

La Belgique fait partie des pays les plus performants en matière de bien-être, selon l’Indice du « Vivre mieux » de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Celui-ci a été actualisé, des données relatives aux inégalités et à la parité ayant été ajoutés aux critères permettant de mesurer et d’interpréter les progrès sociaux et économiques. L’Indice est, par ailleurs, désormais disponible en français. Au total, 62% de la population âgée entre 15 et 64 ans (67% d’hommes et 57% de femmes) disposent d’un emploi, un score inférieur à la moyenne de l’OCDE (66%). Le temps de travail annuel est de 1.551 heures, soit nettement moins que la moyenne (1.749 heures). En ce qui concerne la formation, 71% des 25-64 ans ont obtenu un diplôme secondaire ou équivalent. La Belgique possède d’ailleurs un système éducatif parmi les plus performants, souligne l’OCDE sur base des résultats du programme PISA. En général, les habitants de Belgique sont plus satisfaits de leur vie que la plupart des citoyens de l’OCDE. En Belgique, 74% des personnes interrogées indiquent vivre au cours d’une journée traditionnelle plus d’expériences positives (fierté, accomplissement, appréciation, etc.) que négatives (douleur, inquiétude, tristesse, ennui, etc.). Ce pourcentage est supérieur à la moyenne des pays de l’OCDE, qui s’établit à 72%. En Belgique, le salaire moyen annuel est de 26.734 dollars, soit davantage que la moyenne de l’OCDE qui est de 22.387 dollars. Cependant, relève l’Organisation, l’écart entre les riches et les pauvres est considérable, les 20% les plus riches de la population gagnant près de quatre fois plus que les 20% les plus pauvres. En matière de santé, l’espérance de vie en Belgique est de 80 ans (83 ans pour les femmes, 78 ans pour les hommes), un âge proche de la moyenne de l’OCDE. La quantité de particules fines est légèrement inférieure à la moyenne, tandis que 84% de la population se dit satisfaite de la qualité de l’eau.

Formation aviateur

Un militaire de chasse concourre avec des aéronefs équipés d’arsenals nucléaires à la tactique de force de frappe. La conjonction des avions d’interception et des bateaux de guerre fortifie la prérogative de dissuasion de l’hexagone. Le pilote de chasse collabore également à la sauvegarde des concitoyens contre une éventuelle menace dans le ciel. Entre 7 et quinze avions de chasse sont prêts en permanence à intercepter promptement tout avion soupçonnable. Egalement, le pilote d’avion de chasse est animateur stratégique des actions hors-territoires menées par le pays. Peu importe la charge qui lui est attribuée le pilote prend connaissance de sa tâche, veille à ce que son avion est efficient, guide son jet pour une mission de surveillance. De retour à sol, le chasseur crée un rapport de sa tâche à ses chefs. Chaque jour le pilote d’aéronef se emploie à la préparation militaire. Sa mission demande une large habileté d’ajustement aux récents aéronefs qu’il faut piloter. Les pilotes de chasse sont aguerris par leur régiment d’appartenance, leur entrainement comprenant les spécificités liées à leur interdépendance à une unité et celles attachées à leurs avions militaire et mandats. Une fraction de cette éducation se réalise sur simulateur. Les pilotes d’aéronefs doivent faire un ratio minimal d’heures de vol par an pour garder leurs facultés. les personnes qui ne pourront pas être pilotes pourront se donner un cadeau inimaginable en accomplissant un vol en avion de chasse. Eprouvez les sensations d’un pilote militaire. Ressentez les impressions pendant le vol en avion de chasse.