La nomination du chef d’état major des armées

Le général François Lecointre, actuellement chef du cabinet militaire du premier ministre va être nommé chef d’état-major des armées en remplacement du général Pierre de Villiers. Une nomination encadrée par la loi. Explications. Le chef d’état-major des armées français Pierre de Villiers, en conflit avec le président Emmanuel Macron au sujet du budget de la Défense, n’aura pas attendu son entretien avec le chef de l’État vendredi: il a posé son képi ce mercredi. Son remplaçant a déjà été annoncé: il s’agit du général François Lecointre, actuellement chef du cabinet militaire du premier ministre Edouard Philippe. Comment a été choisi celui qui va prendre la relève? Le Figaro fait le point. Pierre de Villiers a été reçu par Emmanuel Macron avant le Conseil de défense qui a eu lieu ce mercredi matin à l’Élysée et lui a annoncé sa démission. En attendant son successeur, il a été représenté au Conseil de défense par le major général des armées, l’amiral Philippe Coindreau (cet officier général de l’armée française assiste le chef d’État-Major des armées). Selon l’article 13 de la Constitution de 1958, «le Président de la République signe les ordonnances et les décrets délibérés en Conseil des ministres. Il nomme aux emplois civils et militaires de l’État.» Le général de Villiers avait ainsi été nommé par un décret du 16 janvier 2014, qui stipulait: «Le Président de la République, sur le rapport du premier ministre et du ministre de la Défense, vu la Constitution, notamment son article 13 ; le conseil des ministres entendu, décrète: M. le général d’armée Le Jolis de Villiers de Saintignon (Pierre, François, Marie) est nommé chef d’état-major des armées à compter du 15 février 2014.» «Le président ne connaît pas personnellement les candidats, explique Jean-Vincent Brisset, directeur de recherche à l’Iris*, spécialiste des questions de défense.

Balade en avion

Dimanche dernier, alors que j’étais à Bondues, j’ai effectué une initiation au pilotage d’avion. Pas un Boeing, hein : n’t petit Robin HR-200, un appareil idéal pour un premier vol. Ainsi que je dois dire que j’ai bien apprécié l’aventure . Je m’attendais à ce que la partie pilotage soit dur e, melica en fait, c’était tout le contraire. D’ailleurs, le pilote m’a appris qu’ on peut obtenir sa licence de pilote avant même d’avoir le permis de conduire : ça vous donne une idée à quel point c’est élémentaire! Pourquoi ? D’abord, parce que c’ represente as well as facile el cual rouler sur une route : après tout, il n’y a ni vitesses ni embrayage. Ensuite, parce que dans les airs, il y a quand même beaucoup moins de circulation! Ce qui fait qu’ il est possible d’obtenir son PPL sans avoir la majorité. Suite à ce vol, j’ai commencé à me demander pourquoi je ne l’ai pas fait plus tôt, alors qu’il y a un aérodrome tout près de chez moi. Pourquoi je l’ai fait loin de chez moi? Et ce n’est pas la première fois que ça arrive. Ca doit être une règle dans l’univers, j’imagine. C’est lorsqu’on est en vacances qu’on fait des activités insolites. Ce qui est quand même bizarre, en fait. Je ne sais pas pour quelle raison. Peut-être est-ce le fait de sortir du cadre domestique : cela réanime d’une certaine façon notre désir d’aventure. Mais c’est dommage. Je vais tenter de changer cette tendance en essayant de faire des activités nouvelles autour een chez moi. On verra si je m’y tiens ou si c’était une résolution de nouvel an ! Je vous mets en amour le site où j’ai déniché mon stage de baptême en avion à Bondues, si ça vous tente. Pour en savoir plus, je vous recommande la lecture du site internet sur ce de baptême de l’air en avion à Bondues qui est très bien élaboré sur ce sujet.

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