L’astronomie est une science fascinante, et notamment parce qu’elle permet aujourd’hui de se projeter dans un autre monde, celui de la conquête spatiale. C’est notamment le cas d’un scientifique qui vous entraine par delà les étoiles, pour rêver à un projet futur de conquête de Mars. En effet, Richard Heidmann n’est pas un homme comme les autres. Né en novembre 1943, cet ancien élève de l’école Polytechnique (promotion 1963), et de l’école Nationale Supérieure de l’Aéronautique et de l’Espace (promotion 1968). Breveté pilote de l’aviation légère de l’Armée de Terre, il a exercé l’essentiel de ses activités professionnelles au sein du groupe Snecma, dans la propulsion spatiale essentiellement. Il a d’abord participé à la genèse d’Ariane, avant de se vouer pendant de nombreuses années aux études de propulsion fusée. Puis il a exercé successivement les fonctions de responsable Qualité et de directeur des Programmes de la direction Grosse Propulsion à Liquides de Snecma-Moteurs, avant d’être nommé directeur Orientation Recherche et Technologie du groupe. Sur le plan associatif, il a pris ces dernières années une part active dans la promotion de l’exploration de Mars et de l’accès de l’homme à ce monde, en tant que président fondateur de l’association Planète Mars. Car Mars est la prochaine destination à conquérir. Certes désertique et glaciale aujourd’hui, et que l’on disait morte, mais qui ne serait en fait qu’en sommeil ! Mars sur laquelle d’énormes quantités d’eau ont coulé et vraisemblablement formé un océan, nous offrant ainsi l’opportunité d’en savoir plus sur les conditions d’apparition de la vie, et donc sur notre place dans l’univers. Mars, planète aux paysages incroyablement variés, d’une beauté sauvage. Planète ayant su conserver les témoignages d’un riche passé géologique, dont l’étude promet de nous faire mieux comprendre le fonctionnement de notre propre Terre. Monde riche en ressources enfin, permettant d’y installer des avant-postes scientifiques, auxquels succéderont une base développée et, un jour, une véritable colonie… Source : vol en apesanteur.
Archives mensuelles : mars 2014
En voyage à Marathon
Qui se souvient de Marathon ? Pour beaucoup, il s’agit simplement du nom d’un type de course à pied. Et pourtant, une agence de voyage vous propose de vous replonger dans l’histoire et de vous emmener dans la plaine de Marathon, là où eu lieu une bataille épique. Récit d’histoire. La cause principale de la bataille de Marathon peut se situer en 511 av. J.-C., année ou Athènes chassa Hippias, qui depuis plusieurs années régnaient en tyran sur la cité. Quand Darius de Perse chercha à le rétablir dans ses fonctions, Athènes était alors impliquée dans la révolte des colonies grecques d’Ionie, en Asie Mineure, contre l’Empire perse. En 492 av. J.-C., Darius envoya une armée commandée par Mardonios conquérir la Grèce et son alliée, Érétrie. La flotte fut anéantie par une tempête, mais une autre, plus nombreuse encore, arriva dans l’ile l’année suivante puis sur le continent. Athènes envoya un coureur demander de l’aide à sa vieille ennemie, Sparte, mais les Spartiates refusèrent de partir en guerre pendant une fête religieuse. Athènes n’eut d’autre alliée que la petite cite de Platée. Les généraux athéniens étaient divisés fallait-il attaquer tout de suite ou attendre ? Ils finirent par marcher vers le nord et affronter l’envahisseur. Les armées se rencontrèrent dans la plaine de Marathon. Moins de 10000 hoplites (fantassins athéniens se heurtèrent à des dizaines de milliers de Perses adossés à la mer. Constatant l’absence de la cavalerie perse, le général athénien Miltiade lança une attaque surprise. Selon Hérodote, quelque 6 400 Perses perdirent la vie et seulement l92 Athéniens. Ce fut la première grande défaite des Perses depuis de nombreuses années : le pouvoir et la confiance en soi des Athéniens s’en trouvèrent renforcés. Si vous aimez l’histoire vraiment ancienne alors ce voyage est fait pour vous. Retrouvez plus d’informations sur le site Voyage Insolite.
La tension monte entre la Turquie et la Syrie
La tension monte entre les voisins Turcs et Syriens. Al Assad est de plus en plus retranchés alors que l’aviation Turque vient d’abattre un avion de chasse Syrien. Le pilote a pu s’éjecter et sauter avec son parachute, a précisé cette source. Le régime désigne par le terme « terroristes » l’ensemble des opposants et rebelles cherchant à renverser le président Bachar al-Assad. Pour sa part, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a félicité l’armée turque pour avoir abattu cet avion syrien et a prévenu que la riposte de la Turquie serait musclée en cas de violation de son espace aérien par la Syrie. La Syrie a dénoncé dimanche une « agression flagrante » en accusant la Turquie d’avoir abattu un de ses avions militaires dans la région frontalière de Kassab, dans le nord-ouest du pays. « Dans une agression flagrante, la défense antiaérienne turque a abattu un avion militaire syrien qui pourchassait les groupes terroristes à l’intérieur du territoire syrien à Kassab », a dénoncé une source militaire syrienne. Auparavant, le ministère syrien des Affaires étrangères avait dénoncé dans un communiqué une « ingérence » de la Turquie ces deux derniers jours dans la région de Kassab, où les combats entre forces gouvernementales et rebelles se poursuivaient depuis trois jours. Le ministère syrien a demandé au gouvernement d’Erdogan de « cesser son agression et son soutien au terrorisme », et de cesser d' »impliquer l’armée turque dans des aventures vaines contre la Syrie (..) qui souhaite la poursuite de bonnes relations bilatérales » avec la Turquie. N’empêche que s’ensuive des menaces. « Notre réponse sera forte si vous violez notre espace aérien », a déclaré M. Erdogan lors d’un meeting électoral. « La défense antiaérienne turque a visé un chasseur bombardier syrien alors qu’il frappait des régions dans le nord de la province de Lattaquié (ouest). L’appareil a pris feu avant de s’écraser en territoire syrien », avait indiqué plus tôt l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH). Source : avion de chasse.