Vol de jour

Prendre les commandes d’un avion ? Ca, c’est fait ! Faire décoller, voler puis atterrir un appareil, voilà ce que j’ai appris à faire, pas plus tard qu’avant-hier. Bien entendu, ce n’était pas un gros Airbus mais un appareil plus modeste, mieux adapté à mes besoins : un Robin, un appareil très agréable qui m’a permis de m’initier en toute liberté. J’ai fait cette expérience à Lille en compagnie d’un pilote de ligne ayant près de 5000 heures de vol derrière lui. La question que vous vous posez forcément est : est-ce compliqué ? Eh bien, curieusement, la réponse est non. Piloter un petit appareil est vraiment à la portée du quidam, contrairement ce à quoi je m’attendais. Les moments les plus frappants restent, comme vous l’avez certainement deviné, le décollage et l’atterrissage. Mais une fois le premier passé et le second encore loin, c’est un parfait moment d’euphorie. Et encore, même le décollage n’est pas aussi inquiétant que ce à quoi je m’étais attendu. Comparativement à un décollage d’Airbus, on peut même dire que cela se fait dans le calme. Et quand l’appareil a retrouvé son assiette, la vue s’est véritablement révélée d’une beauté incomparable. Je prends toujours une place côté fenêtre lorsque je voyage en avion, mais là, le spectacle n’a rien à voir : non seulement parce que l’altitude, beaucoup plus faible du Robin, permet de profiter de chaque détail du paysage, mais aussi et sourtout parce que la verrière du Robin offre une vue panoramique de la terre, à des années-lumière du petit hublot d’un Airbus. Mais ce qu’il y a de plus hypnotisant dans cette expérience, ce n’est pas tant la vue que le pilotage en lui-même. En effet, le maniement du joystick est très enivrant. La légèreté de l’appareil fait que l’on ressent toutes les rafales de vent qui font osciller l’avion. Du coup, on a souvent l’impression de lutter contre le vent lorsqu’on change de direction. On ressent extrêmement bien les sensations délivrées par l’appareil. C’est assez difficile à décrire, mais c’est quelque chose d’intense. Assez pour qu’on en ressorte épuisé, en fait. Il faut tout de même maintenir le manche à balai tout du long, et même si ce dernier est assez souple, il réclame aussi un peu de force pour garder le cap. Bref, c’est une expérience phénoménale que je vous recommande de tester si vous en avez l’occasion. Si vous êtes intéressé, je vous mets la page qui m’a été bien utile pour mon vol à Lille. Davantage d’information sur ce stage de pilotage avion en suivant le lien.

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Balade en avion

Dimanche dernier, alors que j’étais à Bondues, j’ai effectué une initiation au pilotage d’avion. Pas un Boeing, hein : n’t petit Robin HR-200, un appareil idéal pour un premier vol. Ainsi que je dois dire que j’ai bien apprécié l’aventure . Je m’attendais à ce que la partie pilotage soit dur e, melica en fait, c’était tout le contraire. D’ailleurs, le pilote m’a appris qu’ on peut obtenir sa licence de pilote avant même d’avoir le permis de conduire : ça vous donne une idée à quel point c’est élémentaire! Pourquoi ? D’abord, parce que c’ represente as well as facile el cual rouler sur une route : après tout, il n’y a ni vitesses ni embrayage. Ensuite, parce que dans les airs, il y a quand même beaucoup moins de circulation! Ce qui fait qu’ il est possible d’obtenir son PPL sans avoir la majorité. Suite à ce vol, j’ai commencé à me demander pourquoi je ne l’ai pas fait plus tôt, alors qu’il y a un aérodrome tout près de chez moi. Pourquoi je l’ai fait loin de chez moi? Et ce n’est pas la première fois que ça arrive. Ca doit être une règle dans l’univers, j’imagine. C’est lorsqu’on est en vacances qu’on fait des activités insolites. Ce qui est quand même bizarre, en fait. Je ne sais pas pour quelle raison. Peut-être est-ce le fait de sortir du cadre domestique : cela réanime d’une certaine façon notre désir d’aventure. Mais c’est dommage. Je vais tenter de changer cette tendance en essayant de faire des activités nouvelles autour een chez moi. On verra si je m’y tiens ou si c’était une résolution de nouvel an ! Je vous mets en amour le site où j’ai déniché mon stage de baptême en avion à Bondues, si ça vous tente. Pour en savoir plus, je vous recommande la lecture du site internet sur ce de baptême de l’air en avion à Bondues qui est très bien élaboré sur ce sujet.

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Jouer au commandement de bord

Il est aujourd’hui possible de piloter un Boeing en simulateur de vol professionnel. Cette pratique unique est réalisée dans un centre de formation des pilotes à Roissy et Lyon. Ces pilotes professionnels iront après œuvrer pour AirFrance. Les simulateurs sont des chefs d’œuvre de techniques, mus par des vérins électriques, qui reproduisent parfaitement les oscillations d’un avion. Cette pratique est particulièrement aimée par les passionnés d’aviation, mais aussi par les passionnés qui convoitent de discerner le rôle de pilote de ligne. Les personnes sont accueillis par un qualifiant airbus sur le centre de formation. Une présentation de trente mn est prodigué puis entreprend la séance de simu professionnel. L’individu peut sélectionner son endroit de départ et son point d’arrivée. Le particulier pourra aussi choisir la plupart des situations atmosphériques avec les surprises qui peuvent advenir en vol. Les passionnés d’aviation aiment.

Mais tout comme ceux qui ont peur en avion. De nombreuses personnes ont peur en vol à cause d’une très mauvaise expérience de vol. Quelques-un ont éprouvé des perturbations épouvantables, comme des conditions encore plus pénibles telle qu’ être touché par le tonnerre pendant le vol, ou également une perte moteur. Toute situation durant le vol éprouvante déclenche une panique du prochain vol. Dans le but de lutter contre cette appréhension et cette peur de prendre l’avion. Les simulateurs sont employés par les médecins pour réaliser des préparations antistress pour lutter contre l’appréhension de l’ avion. Ces stages sont faites sur mesure et présentés à la personne pour une supérieure efficacité. La séance de 3 heures permet au prétendant de saisir la dynamique d’un avion et de se mettre en condition, là aux commandes d’un avion. Aidé d’un médecin, le candidat se bat contre ses phobies afin de mieux les saisir et les dompter. Les simu de vol utilisables sont des simulateurs Airbus et Boeing 737. La façon de piloter l’A320 et le B737 sont originales. La technicité de pilotage Airbus est cadrée sur le manche – vous attribuez une impulsion sur le manche et l’aéroplane va fixer la posture qui vient de lui être ordonné, sans continuer l’attaque sur le manche à balai. Ceci s’avère quelque fois perturbant pour un pilote. Au contraire, le simu Boeing maintient un feeling de vol usuel. Le joystick est normal, et il convient de garder l’angle sur le manche à balai pour permuter l’attaque ou l’attaque de l’aéronef. Pour avoir de la hauteur, vous tirez sur le manche à balai, et il faut maintenir cette attitude pour continuer à s’élever. A l’inverse sur l’Airbus 320, vous donnez un angle d’altitude, et on peut abandonner le manche à balai.

L’avion maintient son attitude. En vue de remettre l’attitude, il faudra ainsi agir sur le manche pour rétablir l’angle originelle. Il n’existe pas de choix parfait pour votre simulateur de vol, cela dépend des souhaits des particuliers. Dans tous les cas, la séance en simulateur est fabuleuse.