Attentats: une plainte contre Twitter

L’entreprise Twitter fait objet d’une action en justice initiée par des proches des victimes des attaques terroristes ayant frappé en 2015 et 2016 les capitales française et belge. La partie requérante juge que la compagnie a offert aux terroristes un puissant moyen de communication. Des proches de victimes des attentats de Paris et de Bruxelles ont déposé ensemble une plainte contre l’entreprise Twitter aux États-Unis. La partie plaignante estime que le réseau social a offert aux terroristes « un moyen de communication unique et puissant » et n’a pas entrepris les mesures nécessaires pour empêcher les extrémistes de diffuser leur message, annonce l’agence Belga. Selon la source, la plainte a été déposée par un partenaire d’Alexander Pinczowski, décédé le 22 mars 2016 à l’aéroport de Zaventem, et par les proches de Nohemi Gonzalez, victime des attentats qui ont frappé Paris le 13 novembre 2015. Les protagonistes exigent des dédommagements qui n’ont toujours pas été chiffrés. Ce n’est pas la première fois que les réseaux sociaux font l’objet de plaintes pour leur utilisation par des terroristes. Ainsi, Google, Facebook et Twitter, trois géants du Web, sont poursuivis en justice par les familles de victimes de la fusillade perpétrée en juin dernier dans la boîte de nuit Pulse à Orlando, en Floride. Plusieurs fusillades et attentats-suicides quasi simultanés ont visé six points de Paris et sa proche banlieue le 13 novembre 2015. Trois kamikazes ont notamment actionné leurs charges explosives près du Stade de France, à Saint-Denis. L’attaque la plus meurtrière a frappé la salle de concert du Bataclan, où les terroristes ont tiré à bout portant sur la foule. Les attentats ont fait au moins 129 morts et 350 blessés. Une série d’explosions, dont l’une au moins serait l’œuvre d’un kamikaze, ont frappé le 22 mars l’aéroport et le métro de Bruxelles, faisant 35 morts et environ 340 blessés.L’entreprise Twitter fait objet d’une action en justice initiée par des proches des victimes des attaques terroristes ayant frappé en 2015 et 2016 les capitales française et belge. La partie requérante juge que la compagnie a offert aux terroristes un puissant moyen de communication. Des proches de victimes des attentats de Paris et de Bruxelles ont déposé ensemble une plainte contre l’entreprise Twitter aux États-Unis. La partie plaignante estime que le réseau social a offert aux terroristes « un moyen de communication unique et puissant » et n’a pas entrepris les mesures nécessaires pour empêcher les extrémistes de diffuser leur message, annonce l’agence Belga. Selon la source, la plainte a été déposée par un partenaire d’Alexander Pinczowski, décédé le 22 mars 2016 à l’aéroport de Zaventem, et par les proches de Nohemi Gonzalez, victime des attentats qui ont frappé Paris le 13 novembre 2015. Les protagonistes exigent des dédommagements qui n’ont toujours pas été chiffrés. Ce n’est pas la première fois que les réseaux sociaux font l’objet de plaintes pour leur utilisation par des terroristes. Ainsi, Google, Facebook et Twitter, trois géants du Web, sont poursuivis en justice par les familles de victimes de la fusillade perpétrée en juin dernier dans la boîte de nuit Pulse à Orlando, en Floride. Plusieurs fusillades et attentats-suicides quasi simultanés ont visé six points de Paris et sa proche banlieue le 13 novembre 2015. Trois kamikazes ont notamment actionné leurs charges explosives près du Stade de France, à Saint-Denis. L’attaque la plus meurtrière a frappé la salle de concert du Bataclan, où les terroristes ont tiré à bout portant sur la foule. Les attentats ont fait au moins 129 morts et 350 blessés. Une série d’explosions, dont l’une au moins serait l’œuvre d’un kamikaze, ont frappé le 22 mars l’aéroport et le métro de Bruxelles, faisant 35 morts et environ 340 blessés.